Une brise glaciale souleva ma crinière. Cette brise, portant tout d'abord l'odeur de la neige, révéla une infime odeur du Clan des Dahlias.

Surprise, et prenant ça pour une erreur de mon odorat, je relevai le museau pour vérifié.
Je ne m'étais pas trompé, il y avait un menbre du Clan des Dahlias !
Il s'approchai, et je pus reconnaître de qui il s'agissait.

Étoile de Feu. Que faisait le meneur adverse sur mon territoire ?
J'entendai maintenant le bruit de sabot claquant furieusement le sol. Environ deux seconde plus tard, je le vit. Pas de doute, il était venu pour me voir.
Plus il s'approchait, plus l'odeur du Clan des Dahlias était forte. Puis, il dit d'une vois forte:

-Un guerrier de ton Clan a été vu sur MES Terres Étoile de l'Hibiscus. Surveilles-tu ton Clan ou dois-je le faire à ta place ?

Il accompagna ses mot d'un coup de sabot furibond tapant le sol.

IL avait osé. Je n'en revenai pas. Il avait osé me dire que je ne savais pas dirigé mon clan.
Mon sang s'était figé, et ma respiration aussi. Quel culot !
Contre toute attente, la colère qui était monté aussi vivement qu'une flèche, redescenda un peu.

- Mon clan se porte TRES bien sans toi. Et commençe par gérer ton propre clan, Étoile de Feu.

Mes parole était aussi froide que la glace. D'un ton moins froid, je continuai:

- Quand au guerrier vu sur tes terres, il était venu te transmettre un message. Sauf que j'ai envoyé un autre guerrier lui dire de rentrer.

Je savais gérer mon propre clan, et lui n'avait pas à critiquer.

Confrontation Musclée



Étoile de Feu était repartit sur ses terres. Et en partant, j'étais sur qu'il avait cru avoir éviter la guerre. Non. C'était faux, il en était certain.

Ma colère n'était toujours pas retombée, mon taux d'aldréaline croissait rapidement...
Furieuse, je claquai mon sabot sur le sol couvert de neige très fine.
Je revit la trace d'Étoile de Feu, et la remplaça par la mienne, faisant oublier cette vilaine dispute à la terre.

Puis la façon dont il m'avait parlé me revint en tête, et je partis au galop, suivant l'odeur du Clan des Dahlias, et celle du meneur adverse

Environ quelques heures plus tard, je reparti vers la crevasse.
Tandis que ma crinière ondulait dans le vent et que celui-ci murmurait à mes oreilles, je réfléchissait au conséquences de mes actes.
J'avais sûrement déclarer la guerre...

J'avais marqué chaque arbres de mon territoire, en imposant non seulement l'odeur de mon clan, mais aussi mon autorité, et la puissance de mon clan.

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